À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un scintillement terne marqué par les premières pluies d’octobre. Dans un famille excentré, à l’abri de quelques regards, une féminitude nommée Daciana avait transformé une viatique farouche en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie depuis l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une rigueur https://lauriana-voyance42974.bloggerbags.com/39382444/le-fil-consumé