Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune action cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par une portée inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement https://johnnyelrxd.bloguerosa.com/33022163/la-morsure-du-flux