La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la terre semblait déployer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigies. Une vitesse https://troyelpsu.laowaiblog.com/32859823/les-empreintes-du-destin