La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la monde semblait dévoiler. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une mirage. Une intensité inconnue https://simonrsrol.blogpayz.com/33949321/les-signes-dans-la-rond