Tokyo, 2052. Les néons projetaient une jour artificielle sur les rues silencieuses. Dans un univers où la perception de demain était devenue une vision cartésienne maîtrisée, l’avenir n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était désormais possible d’altérer la impression des secondes, de https://martinfqwaf.vblogetin.com/39523339/le-futur-réécrit