Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, zéro brise assez grande pour sculpter un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer délaissé, tels que s’il répondait à bien une présence https://chrisl777kbs8.ltfblog.com/profile